LGDC Graphic' Dream
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 chtite fanfic's (lancer pas les tomates !!!!!!)

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Pour l'histoire ...
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Ose mettre la suite et je demande l'averto !
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M'en fous.
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AuteurMessage
Songe du Tigre

Songe du Tigre


Messages : 11
Date d'inscription : 26/06/2009
Age : 30
Localisation : un coin paumé de la France

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MessageSujet: chtite fanfic's (lancer pas les tomates !!!!!!)   chtite fanfic's (lancer pas les tomates !!!!!!) I_icon_minitimeLun 10 Aoû - 12:37

Avertissement :

le prologue est à éviter pour les personnes à l'âme sensible.
Chapitres longs.
Écrivain avançant à 2 à l'heure ... --'
Changement entre le prologue (gore parait-il et faisant 2 pages) et les chapitres (plus drôle et faisant en moyenne 4 pages)
Première fics que l'auteur ose poster être indulgent
Fics n'étant franchement pas sur les valeurs familiale

Titre :

L'enfant glace

Auteur :

euh ... moi

Inspiration :

Bleach ( seulement pour les persos, l'histoire et totalement différentes)

Histoire :

(je vais seulement poster le prologue et le premier chapitre pour l'instant, va falloir attendre pour la suite)

Prologue


Tout était encore calme dans la ville. Plus pour longtemps.
Le destin était en route et avançait inexorablement.

Deux coups de feu déchirèrent le silence de la ville.
Un seul cri de douleur et de détresse s’ensuivit.
Dans une ruelle, le corps d’un homme gisait, mort, une balle fichée dans le cœur. Derrière lui, une jeune femme, le bras en sang, serrait contre elle sa fille et son fils, faisant de son propre corps une muraille. Un rempart entre eux et celui qui venait de tuer leur père.

Elle pleurait.
Elle pleurait pour son aimé. Elle pleurait pour ses enfants. Elle pleurait son manque de force. Elle pleurait tandis qu'elle regardait le visage de l'assassin.
Pourquoi faisait-il ça ?! Elle ne pouvait admettre que c'était lui !
Son dernier espoir résidait en son lien avec sa jumelle.
Le dernier espoir qu’elle avait de sauver ses enfants.
Sa propre vie n'avait plus aucune importance.

D’autres coups de feu retentirent.
Aucun n’atteignit les enfants.
Tous atteignirent le dos de la mère.

La fillette ne savait que faire.
Les larmes coulaient de ses yeux sans qu'elle s'en rendit compte.
Elle essayait de nier la vérité. Mais la flaque écarlate qui grandissait peu à peu sous le corps de son père ne cessait d'attirer son regard, comme pour la narguer.
Le ricanement de la personne qui se tenait face à eux, un pistolet à la main, sonnait à ses oreilles comme celui d'un fou.
Son père était mort. Sa mère mourrait pour les sauver, elle et son frère.
Des personnes mourraient pour sauver sa faible et pitoyable existence.

Le garçon ne comprenait pas ce qui se passait.
Il n’était pas de ce monde depuis assez longtemps.
La vie et la mort n’avaient aucun sens pour lui.
Il se contentait de promener son regard autour de lui, curieux. Il regardait sans comprendre. Sa mère et sa sœur pleuraient. Il ne savait pas pourquoi. Son père était couché et ne se relevait pas. Il était couvert de taches rouges qui semblait partir de sa poitrine. Un homme au regard et au rire fou tendait vers eux un objet noir et brillant.

Un cri retentit.
Un cri de rage et de tristesse.
Cinq silhouettes se dessinèrent au bout de la rue.
La mère sourit tandis qu'un filet de sang s’écoulait de la commissure de ses lèvres.
Aux portes de la mort, elle était heureuse.
Elle souriait à la mort. Elle l'accueillait avec sérénité. Presque avec joie.
Elle ne mourrait pas en vain.
Ses enfants seraient sauvés. C'était tout ce qui importait pour elle désormais.
L’une des cinq silhouettes se précipita vers elle. Une silhouette qu’elle ne connaissait que trop bien. Celle de sa jumelle. Les mains tremblantes de sa sœur lui agrippèrent les épaules.
Les yeux glaces et apaisés plongèrent dans ceux océans et larmoyants.
Aucune parole ne fut échangée.
Elles n’en avaient pas besoin. Elles n’en avaient jamais eu besoin. Elles n’en auraient jamais besoin.
Elles se serrèrent une dernière fois dans leurs bras. L’une partit à jamais, le sourire aux lèvres. L’autre resta et ferma les yeux maintenant ternes de sa sœur pour ne plus jamais les rouvrir. Elle se redressa après avoir allongé le corps de sa jumelle. Sa lèvre tremblotait. Son visage était ravagé par la tristesse. Au fond de ses prunelles brûlait une haine infinie et désespérée.
Un cri rauque s’échappa de la gorge.
Ses amis la rejoignirent. Avec eux, son propre mari.
Ensemble, ils se tournèrent vers l'assassin. L'assassin de deux êtres chers à tous les cinq que rien ni personne ne pourrait jamais remplacé.
Aveuglés par la colère, les cinq silhouettes se jetèrent en même temps sur leur adversaire.
Un nouveau coup de feu retentit.

Une jeune femme pleurait dans une ruelle. Autour d’elle, seul trois silhouettes se tenaient debout. La quatrième gisait dans ses bras, morte.
Derrière une fillette à genoux pleurait, serrant désespérément son frère dans ses bras.

En une nuit, la jeune femme avait perdu son mari, sa sœur jumelle et un ami.
En une nuit, les trois silhouettes avaient perdu trois amis chers.
En une nuit, la fillette avait perdu son père, sa mère, son oncle et la raison.
En une nuit, un bébé albinos aux yeux glaces était devenu orphelin et avait perdu son oncle.
Son destin d’enfant glace était scellé. Mais cela, il l’ignorait encore.
En une nuit, tout peut changer ...
Le pire comme le meilleur ...


Chapitre 1
La découverte


Dans son cabinet, l'assistant social regardait avec tristesse celui qui lui faisait face.
Un jeune garçon qui pleurait toutes les larmes de son corps.
Il avait neuf ans, ses cheveux blancs étaient en bataille, ses yeux avaient la couleur de la glace et sa vie venait de chavirer à nouveau.
Quelques heures plus tôt, la police frappait à la porte du petit appartement dans lequel il vivait avec sa grand-mère qui l'élevait seule pour lui annonçait que cette dernière venait de se faire renverser par une voiture.
Elle venait de sortir de l’hôpital psychiatrique où sa sœur Hélène était internée depuis la nuit où elle avait vu leurs parents mourir devant eux.
Lui, l'enfant glace, avait encore porté malheur à l’un de ses proches ...
Il croyait avoir perdu sa dernière famille et s’attendait à ce que l'assistant social lui dise qu’il devait allait chez son parrain qu’il ne connaissait absolument pas et serait séparé de sa sœur. Sa dernière famille.
Il fut totalement pris au dépourvu quand celui-ci, en espérant faire cesser ses pleurs une petite minute, lui demanda :
- Alors Thomas, tu préfère aller vivre chez tes grands-parents et ton oncle ou chez ta tante ?
Sur le coup de la surprise, il arrêta de pleurer. Il redressa la tête et regarda l'assistant social, l'air surpris.
- Chez qui ?!
- Chez tes grands-parents maternels et ton oncle ou chez ta tante, répéta patiemment l'assistant social , trop content qu’il est enfin arrêté de pleurer. Ne me dis pas que tu ignorais que les parents, le frère et la sœur de ta mère étaient encore en vie ?!
Thomas secoua négativement la tête tout en lui répondant :
- Je savais que ma sœur et moi avions chacun un parrain, mais de la famille …
Les yeux de l'assistant social lui sortirent de la tête :
- Tu n’espère pas me faire croire que ta grand-mère ne t’a jamais parlé de ta famille ! Regarde ! C’est écrit noir sur blanc ! «Lisa Durocher –c’est bien ta mère- a un père, Richard Source, une mère, Adeline Source, un frère, Yves Source et une sœur, Élise Dufeu.»
- C'est la première fois que j'entends ces noms ...
- Tu te fiches de moi ?!
- Non ...
- Tu t'entends mal avec eux et pour ne pas aller chez eux tu essayes de me faire croire qu'ils ne sont pas de ta famille ?
- Je vous jure que non ! C'est la première fois que j'entends parler d'eux ! Je ne les connais absolument pas !
- Bon, passons, tes grands-parents et ton oncle vivent ensemble. Je suis sûr qu’ils sont tous très gentils ! D’ailleurs on va commencer par eux ! J’ai entendu des choses pas très nettes à propos de ta tante, il paraît qu’elle vivrait avec plusieurs hommes à la fois !
Sans même attendre l’avis du garçon, l'assistant social composa le numéro de la maison familiale et mit le haut-parleur pour qu’il puisse entendre. On décrocha au bout de la troisième sonnerie et la voix d’un homme de mauvaise humeur répondit :
- Allô ?!
- Bonjour, excusez-moi de vous déranger mais je suis assistant social. Suis-je bien à la résidence Source ?
- Oui, vous y êtes, qu’est-ce que vous nous voulez ?
- Eh bien voilà, c'est au sujet de Thomas Durocher. Madame Opale Durocher vient de mourir …
- Qui ça ?
-Thomas Durocher et Madame Opale Durocher.
-Mmm … ça ne me dit rien …
-Voyons monsieur ! Votre neveu et la mère d’Alphonse Durocher ! Votre beau-frère ! Le mari de Lisa Duro…
-Ne prononcez pas ce nom !
-Pardon ?
-Ne prononcez pas le nom de cette espèce de petite traînée de Lisa ! Nous ne voulons plus jamais rien avoir à faire en rapport avec elle ! Sur ce, au revoir !
-Attendez !
Seule la tonalité lui répondit. Il se tourna vers le gosse qui regardait d’un air incrédule le téléphone. Ne pouvant croire ce qu’il venait d’entendre. Il découvrait d’un coup qu’il avait de la famille et voilà que l'assistant social lui disait que sa tante n’était pas nette et que son oncle traité sa mère de traînée ! Ça commençait bien !
L'assistant social déglutit. Ça, pour une grosse boulette, c’en était une ! Il se reprit et dit avec un ton faussement joyeux :
- Bon, et si on appelait ta tante ?!
Le garçon plongea ses yeux dans ceux de l'assistant social et lui répondit :
-Vous ne venez pas de dire qu'elle n'était pas nette et qu'elle vivait avec plusieurs hommes ?!
-Sûrement quelques rumeurs non fondées ! On invente vraiment n'importe quoi de nos jours tu sais !
-Oui, je suis au courant ...
Thomas baissa tristement la tête et fixa ses genoux. Comment pouvait-il oublier ça, lui, l'enfant glace ?
L'assistant social composa vivement le numéro tout en ce demandant ce qu'il avait dit de mal cette fois-ci. Ils tombèrent sur le répondeur. De mieux en mieux ...
- A cette heure-ci elle est sans doute à son travail ! Le numéro est écrit à côté ! On va essayer !
Il n'obtint aucune réaction de Thomas qui se voyait déjà séparé de sa sœur. On décrocha à la première sonnerie et une voix enjouée d'homme répondit :
- Dojo du lys tigré, j'écoute !
L'assistant social et Thomas eurent les yeux agrandis par la surprise, un quoi ?
- Euh ... Excusez-moi, je recherche Élise Dufeu.
- Je crois que je vais vous étonner mais ce n'est pas moi !
- Euh ... Est-ce que vous la connaissez ?
- Si je la connais ? Évidemment ! Et depuis un sacré bout de temps !
- Et est-ce que je pourrais la contacter ?
- Ça dépend.
- Pardon ?!
- Ça dépend de pourquoi vous voulez la contacter ! Si c'est encore à propos de polygamie, pour l’énième fois, nous sommes seulement colocataires ! Nous ne l'avons jamais touché, sexuellement parlant ! Ni elle, ni sa fille, ni le chat, contrairement à ce que pense la voisine !
- Quoi ?!
- Notre plus ou moins chère voisine est persuadée que nous sommes qu'une bande d'obsédés qui saute sur tout ce qui passe ! Je ne vous raconte pas le nombre d'appels que la police reçoit de sa part à notre propos ! Maintenant des rumeurs circulent sur nous grâce à elle !
- Ah ! Ces rumeurs n'étaient donc pas fondées ?!
- Non, pas le moins du monde !
- Vous êtes l'un des fameux colocataires ?
- Exact ! Mais finalement, vous lui voulez quoi à notre Élise ?
- Est-ce que vous savez si les noms de Thomas Durocher et Opale Durocher lui évoque quelque chose ?
- Thomas et Opale ? Évidement ! Comment pourrait-elle oublier son neveu et la mère d'Al' ? Pourquoi ? Il y a un problème avec eux ?
- Madame Opale Durocher s'est faite renverser par une voiture ce matin, elle n'a pas survécu.
- Quoi ! Opale est morte ?! Ce n'est pas vrai ?!
- Hélas si.
- Mince ! Mais, et Thomas, qui va s'occuper de lui maintenant ?
- C'est justement à ce sujet que je voudrais contacter Élise Dufeu.
- Vous voulez qu'elle s'occupe de lui ?
- C'est ça. Pourrais-je l'avoir s'il vous plaît ?
- Je regrette mais non. A cette heure-ci elle doit rentrer du cimetière.
- Du cimetière ?
- Oui, elle y va presque tous les jours pour parler à Lisa, à Al' et à Ad'.
- Ad' ?
- Adrien, son mari. Il est mort lui aussi.
- Et quand pourrais-je la contacter ?
- A mon avis, vous feriez mieux de venir directement ici après son cours, à six heure et demi.
- Vous êtes sûr ?
- Ce serait préférable, sinon il y a des chances pour qu'elle ne veuille pas rencontrer son neveu.
- Pourquoi ? Elle a eu des différents avec sa sœur ?
- Pas du tout ! Elles s'adoraient ! Elles étaient absolument inséparables toutes les deux !
- Mais ?
- Mais elle aura peur.
- Comment ça peur ? Peur de quoi ?
- Peur de son regard. Peur de lui expliquer les raisons qui l'ont poussé à ne pas lui faire connaître son existence durant toutes ces années. Peur de remuer de trop douloureux souvenirs.
- Vous êtes certain que si on vient ça se passera mieux ?
- Non. Mais elle ne pourra pas se défiler ! Ne vous inquiétez pas, de toute façon, je suis sûr qu'elle acceptera de prendre soin de lui ! Au pire, c’est moi qu’elle étranglera !
- Bon ... Et bien, je viendrai alors ...
- A tout à l'heure donc !
- Attendez !
- Qu'est-ce qui se passe ?
- Nous n'avons pas l'adresse de votre lieu de travail.
- C'est simple ! On habite juste à côté !
- Pardon ?
- Ben oui ! C'est plus pratique !
- Si vous le dites ...
- Bon, et bien nous vous attendons de pieds fermes !
- D'accord.
L'assistant social raccrocha le téléphone et se tourna vers Thomas.
- Et bien tu vois ! Tout est arrangé !
- Vous trouvez ?
- Pourquoi ? Il y a un problème ?
- Ils ont l'air spéciaux ...
- Mais non voyons, c'est juste une idée !
Malgré ce qu'il venait de dire, il était quand même d'accord avec Thomas. Il se demandait s'il ne venait de faire une grosse bêtise en acceptant ce rendez-vous et en confiant cet enfant à ces personnes ...


Petit Jeu :

Retrouver de quel persos de bleach sont inspiré mes persos ! (Euh ... pour l'instant y a pas grand monde à trouver ... --')
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